Découverte d’une fucking machine dans son atelier

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il y a 6 ans

Découverte d’une fucking machine dans son atelier

Enfin, j’allais pouvoir avoir un endroit à moi, un lieu où je laisserais libre cours à mon imagination pour vivre, créer, dessiner, façonner de mes mains. Toute petite déjà, je rêvais d’être styliste en relookant mes poupées. Aujourd’hui, j’avais décidé de sauter dans le grand bain ! Une annonce découverte dans le journal me semblait parfaitement correspondre à mes attentes. Une ancienne fabrique de meubles située à plusieurs dizaines de kilomètres de Paris, mais qui présentait le double avantage d’être grande et surtout, dans mon budget !

J’avais rendez-vous avec Julien, le contremaître. Mais, à peine étais-je arrivée sur les lieux que l’homme a reçu un coup de fil d’un livreur : il devait aller le dépanner dans le centre-ville. Julien m’a donc proposé de commencer le tour du propriétaire en solitaire, dans ce lieu qui sentait bon le bois et le vernis.

Un peu intimidée, je suis restée bloquée sur l’étrange appareil que mon hôte m’avait présenté en entrant. Il est vrai que l’objet avait de quoi surprendre ! Une machine en bois d’allure assez complexe destinée à offrir un maximum de plaisir… Une fucking machine, en somme ! Je me suis dit que, pour m’accoutumer à ce nouveau lieu qui allait certainement devenir le mien, il me fallait découvrir TOUS les aspects de cette bien jolie manufacture. Julien m’avait dit qu’il en avait pour une vingtaine de minutes, ce qui me laissait le temps de tester ce drôle d’engin.

Je me suis confortablement installée sur le siège, les cuisses ouvertes. Le contact du bois sur mes fesses était si froid qu’il m’a fait tressaillir. Mais la situation était à tel point étrange qu’une vague de chaleur n’a pas tardé à envahir mon corps. Ma chatte rasée était déjà en nage, et je savais que le magnifique gode en bois n’aurait aucun mal à se frayer un chemin en moi. Il ne me restait plus qu’à comprendre comment utiliser correctement cet étrange instrument. J’ai lubrifié avec ma mouille le morceau de bois en forme de sexe, actionné la manette centrale et là, la chose s’est mise en marche et a envahi mon intimité. Je n’ai pu réprimer un gémissement tant la sensation était intense et unique.

Je me sentais si bien dans ce lieu, laissant mon imagination vagabonder, rêvant de queues, de mains, de langues prêtes à se perdre sur les moindres parcelles de mon corps en ébullition. Je pensais à ce petit contremaître que je trouvais pas mal du tout, et à ses yeux coquins qui avaient, semblait-il, passé en revue la moindre de mes courbes.

Un bruit m’a sorti de mon état de bien-être total. C’est là que j’ai découvert Julien dans l’embrasure de la porte. Il me regardait en silence. Une vague de honte s’est abattue sur moi et je suis devenue rouge, incapable de bouger ou encore de prononcer la moindre phrase. Les mots étaient d’ailleurs inutiles. Julien s’est approché et a très délicatement passé sa main sur mon bouton d’amour tout gonflé. Les choses se sont ensuite enchaînées à une vitesse folle et, quelques instants plus tard, nous étions tous les deux dans la pièce qui tenait lieu de chambre, nos corps mêlés.

Déjà bien chaude après cette petite mise en bouche sur la machine, je me suis empalée sur la queue droite et bien dure de Julien. Je donnais un rythme d’enfer à notre corps à corps, chevauchant le contremaître comme une cavalière au galop.

Visiblement, mon traitement faisait son effet car le jeune homme poussait des gémissements rauques, preuve du plaisir qu’il prenait à ses allers et venues au fond de ma chatte. “Alors, ma bite te fait autant de bien que la machine ?” a demandé Julien. “Tais-toi et baise-moi !” , lui ai-je simplement répondu. Ces mots un peu abrupts ont eu un effet certain sur mon partenaire. Pendant qu’il me prenait avec fougue, il s’amusait à écarter au maximum mes fesses afin de bien dilater mon petit trou et pouvoir y glisser son majeur, pour commencer… Il ne fallait pas compter sur moi pour l’en empêcher. J’adore que l’on plonge des doigts, ou une bonne grosse queue entre mes fesses. Visiblement, le message a été reçu cinq sur cinq car le cochon ne cessait plus d’agiter ses phalanges dans mon œillet, tout en me pilonnant par-devant… Affamée comme je l’étais, j’ai enlevé le bout de latex qui couvrait le sexe de mon partenaire et je l’ai avalé d’un coup. La manœuvre n’a pas eu l’air de décontenancer Julien qui en a profité pour se mettre totalement à poil. J’agrippais sa grosse tige à la base et je m’amusais à la prendre tout au fond de ma bouche en fixant son propriétaire droit dans les yeux. Je sais que tous les mecs raffolent de ça ! Je le pompais comme une sauvage, m’amusant à faire claquer sa belle queue sur mon visage, mes seins, avant de baver le long de son gland v i o l acé par l’excitation.

Le petit intermède avait visiblement mis la résistance de Julien à rude épreuve car il s’est emparé d’un nouveau préservatif qu’il a enfilé à toute allure !

Alors que je me plaçais en levrette, c’est dans une tout autre direction que Julien s’est dirigé. Mes fesses bien ouvertes avaient dû le renseigner sur mon goût prononcé pour la sodomie car, sans même me demander mon avis, le coquin a planté sa grosse bite dans mon conduit. Il faut dire que je n’ai montré aucune résistance… “Alors, tu es bien dans mon petit cul ?”, ai-je soufflé à Julien. Pour toute réponse, un gémissement m’a confirmé tout le plaisir que trouvait mon partenaire à passer par la porte de derrière. Son piston m’écartelait les fesses et ses va-et-vient de plus en plus effrénés m’arrachaient des cris de bonheur. “Alors, tu aimes te la prendre dans le cul ?”, ne cessait-il de répéter. Inutile d’être expert en voyance pour tirer une telle conclusion ! Les mots qui sortaient de ma bouche devaient suffire à lui donner les renseignements nécessaires sur le bien que me faisait sa queue plantée entre mes fesses. Je le sentais pousser jusqu’à la garde. Il resta calé ainsi quelques instants au fond de moi sans bouger, tout à son plaisir… Et au mien, bien évidemment !

Je savais que, sur le papier, ce lieu avait tous les critères pour me plaire, mais je ne pensais pas que la visite me conduirait à une telle extase. J’ai alors décidé de prendre les choses en mains (si je puis dire !) et je me suis assise sur cette queue tendue pour la faire disparaître au fond de moi. Je me cambrais au maximum afin de recevoir le merveilleux engin vivant tout entier dans mes chairs. Je me sentais remplie, c’était bon ! “Alors tu aimes l’enculer, la styliste ? Il te plaît son cul ?”, ai-je lancé à Julien qui n’a pu retenir un : “Ouuiiiiiiiiiiiiii” qui a résonné dans tout le lieu tant il avait été prononcé avec f o r c e . La chaleur se faisait de plus en plus intense dans mon corps. Des signes avant-coureurs bien précis laissaient augurer un orgasme proche. N’écoutant que mon plaisir, j’ai accéléré le mouvement pour, quelques instants plus tard, être envahie par une jouissance rare et si forte que j’ai hurlé sans retenue.

J’étais si bien que j’ai continué sans relâche à donner des coups de reins assassins afin que le plaisir ne redescende pas tout de suite. Lorsque j’ai compris que Julien était lui aussi sur le chemin de l’orgasme, j’ai poursuivi ma chevauchée fantastique. Je poussais encore et encore, prenant un plaisir énorme à conduire mon partenaire là où il m’avait emmenée quelques secondes plus tôt. Mes fesses étaient si ouvertes que je me relevais pour faire sortir la grosse bite de Julien de mon petit trou avant de me la remettre à nouveau. J’adore regarder ce spectacle ! Fixer la queue de mon amant alors qu’elle s’enfonce peu à peu dans mon cul est un plaisir rare qui a tendance à décupler mes sensations.

Lorsque le contremaître m’a fait comprendre qu’il n’allait pas tarder à jouir, j’ai ressorti ce bel engin de mon fondement et j’ai enlevé le préservatif. Là, je me suis appliquée à branler la queue de mon partenaire, qui n’a pas été bien long à éjaculer son foutre crémeux sur mon bas-ventre. J’ai bien malaxé ses couilles afin d’en recueillir toutes les gouttes. Julien semblait apprécier mon final en forme d’apothéose car il continuait à gémir sous mes caresses, comme un petit animal. Je fixais ce sperme épais qui couvrait ma chatte, mes cuisses, et coulait sur mon œillet encore ouvert par cette merveilleuse sodomie.

Le problème était maintenant de gérer l’après. Cette partie de jambes en l’air était une chose, mais il ne fallait pas perdre de vue ce pourquoi j’étais venue en ce lieu : obtenir un local adéquat afin de pouvoir réaliser mes premiers modèles de fringues. Je n’ai pas vraiment laissé le temps à Julien de se remettre de ses émotions et je lui ai demandé où je devais signer pour valider le contrat. Dans un état second, le jeune homme m’a dit qu’il n’y avait aucun problème et que le local était à moi si je le souhaitais. Il m’a bien évidemment fait comprendre qu’il n’était pas contre l’idée de venir me rendre visite de temps à autre. Vu le premier round qu’il m’avait offert, comment aurais-je pu résister ?

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